lundi 1 juin 2015

dimanche 31 mai 2015

samedi 30 mai 2015 dans VERSION FEMINA

 

 

vendredi 29 mai 2015

jeudi 28 mai 2015

 

 la Baume-de-Transit

Depuis plus de 30 ans, le lundi de Pentecôte métamorphose ce petit village de 860 âmes en une foire traditionnelle où se côtoient forains, camelots, marchands, animaux, vide-grenier, décors d'antan autour des vieux métiers, groupes musicaux et folkloriques. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour sa 42^ème édition cette grande foire a mis à l’honneur le cheval avec de nombreuses démonstrations équestres ; dans l’après-midi  débardage à cheval, équitation à l’américaine, voltige en cercle, balade, vente de chevaux, équipement de cavaliers et le battage du blé.

  

 Dans tout le village le fête foraine battait son plein avec le marché provençal dans l’artère principale alors que le vide grenier avait pris place dans le vieux village en montant vers les ruines du château. La fête foraine avec manèges et différents stands était installée à l’extérieur dans un grand espace pour le plus grand plaisir des petits et des grands. Sans oublier le traditionnel défilé à l’ancienne emmené par la batteuse, groupe musicaux et chars. Dans une salle, des dentelières étaient à l’ouvrage pour nous faire admirer leur  travail au fusain. Le repas de midi sur la place était, quant à lui, animé par le Groupe La Vidourlenque.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’Escandihado était présente avec les vieux métiers et a pu faire découvrir à un public nombreux et curieux tout son savoir-faire autour de la teinture des tissus avec des plantes récoltées et séchées, la révélation des tanins avec des feuilles de plantes ramassées le matin, les tampons et le pinceautage.

 

  

 

Cette manifestation s’est déroulée sous un beau soleil, dans une bonne ambiance et  sur un  « belèu à l’an que vèn ».

 

  

 

JOURNEE PROVENCALE A JONQUIERES

    Chaque année, le village de Jonquières organise une manifestation en hommage à la Culture Provençale.

Cette année, en ce 17 mai pour sa 19^ème édition la municipalité a offert un voyage dans le temps à un très large public avec trois tableaux.

Tout d'abord, l'Antiquité avec un tableau romain, ses légionnaires et leurs manœuvres, ses gladiateurs et leurs combats.

Ensuite, l'époque Médiévale avec tentes et divers ateliers : calligraphie, herboristerie, tissage, cotte de maille, forge, héraldique, cuisine et jeux médiévaux.

Et enfin, la Provence d'hier avec la très attendue transhumance de 2 000 moutons, ateliers pour enfants, vieux métiers d'antan et un grand marché provençal avec plus de 80 exposants.

l'Escandihado invitée à cette belle occasion a montré son savoir-faire dans la discipline de la révélation du tanin, des tampons en bois et du pinceautage. Un public nombreux s'est massé autour de nos stands afin de découvrir ces anciennes coutumes qui permettaient à nos ancêtres d'avoir de jolis vêtements.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les enfants, eux aussi ont participé et sont repartis avec les morceaux d'étoffe qu'ils avaient tamponnés à leur gré.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout au long de la journée peña et tambourinaires ont animés cette merveilleuse fête que le fort Mistral n'a pu ternir.

 

Comme chaque jeudi de l’Ascension, les rues de Cavaillon s’animent au passage du traditionnel corso.

 

Cette année  avec le thème du Vaucluse, on pouvait voir réunis le Colorado provençal, le Ventoux, le palais des Papes …

 

Magnifiques créations faites de grillage et de papier crépon, tous ces chars accompagnés de groupes musicaux, peña et majorettes ont parcouru pendant 2 h durant les rues du centre ville cavaillonnais.

 

L’Embelido (groupe folklorique) avait la charge d’ouvrir ce magnifique cortège sonore et coloré ; une fois n’est pas coutume quelques membres de notre association ont défilé sous leur bannière en « renfort ».

 

Même sous le soleil de plomb le public était là ! Notre  groupe en costume comtadin a été très applaudi !

 

 

Qui de la grand-mère ou de l’arrière grand-mère, est la plus fière de défiler avec le petit Timéo, qui est le seul à ne pas avoir mal aux pieds !

 

Merci à l’Embelido ne nous avoir permis de vivre ce moment !